BURIED ALIVE
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 Envie de pisser. - Feliks

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Maryjane Hudler

Maryjane Hudler


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MessageSujet: Envie de pisser. - Feliks   Envie de pisser.  - Feliks EmptyLun 23 Fév - 17:59

Maryjane était confortablement installée sur le dos de son cher Feliks, qui la portait depuis bien quinze minutes. Depuis qu'ils avaient quitté leur petite & adorable maison, le coeur léger, en cette soirée d'hiver. Parce que le romantisme ne tue pas, et que Sixte était sorti, voir sa mère, surement, la jeune femme avait trainé sa victime - ou plutôt, Feliks se la trainait - jusqu'au cimetière, façon Frankie et Juliet. La cuillère à glace au fond de son sac, et la pince à épiler à la main, de façon à lui pincer les fesses dés que sa monture ralentissait. Prenait plaisir à l'entendre gémir, chaque fois qu'elle avançait, même juste un peu, la pince de sa cuisse droite, le menaçant de sévir à cause de sa lenteur. Le pauvre homme peinait à marcher, bien qu’il eu toute la place qu’il voulu, les rues étant parfaitement vides. Maryjane aurait éprouvé un malin plaisir à le voir pleurer comme une madeleine, et enfonçait donc outrageusement ses talons aiguilles dans les jambes de Feliks, qui malgré qui ai eu le choix, continuait de lui obéir. Déposait quelques baisers juste derrière son oreille gauche, espérant calmer légèrement le mal qu’il devait éprouver. Se voulait plus agréable que méchante et manipulatrice, en fin de compte, mais n’y arrivait pas. Arrivés devant la grille du cimetière, qui en fait, ne servait à rien puisqu’elle était constamment ouverte, ou jamais verrouillée, du moins, Maryjane descendit du dos de Feliks et le prit par la main, d’une manière des plus douces et innocentes, pour se faire pardonner, d’une certaine façon. Le tira légèrement sur quelques mètres, jusqu’à ce qu’il ne la suive de son propre gré. La scène aurait été adorable, presque romantique, si la jeune femme, si stupide soit elle, n’avait pas fréquemment hurlé des « Putain, j’ai envie de pisser ! », ou « you can’t kill north londooon traaaash, traaash ! ». Son compagnon, lui, se taisait fermement, fronçant seulement les sourcils à chaque nouveau cri aigu. Son ingénue s’obstinait cependant, jusqu’à voir que Feliks ne répondait rien – si seulement il y avait quelque chose à répondre – et ne semblait pas vouloir l’engueuler, ou lui demander de se taire, une bonne fois pour toute. Elle se tut donc, se retournant désormais de temps à autre pour voir le visage du jeune homme qui la suivait aveuglément. Maryjane continua de déambuler un moment entre les tombes, enfouissant à chaque pas ses escarpins dans les graviers qui recouvraient le sol, de la manière la plus artificielle qui soit. S’attardait surtout sur l’état de ses ravissantes chaussures, plutôt que sur le chemin qu’elle empruntait. Jetait de temps à autre des regards furtifs vers les tombent qui l’entouraient, et brusquement, s’arrêta devant l’une d’entre elles. Se prit Feliks dans le dos, trop rêveur pour penser qu’elle en viendrait à mettre fin à leur balade, qui se révélait plus lugubre qu’amoureuse. Attrapa ce monsieur par les épaules pour le poster devant la tombe joliment ornée de fleurs, cadres photos et autres stupidités, et le força à baisser la tête cers la pierre, qui indiquait le doux nom de Juliet Borning. Il se redressa, donnant la possibilité à Maryjane de lever les yeux vers lui.

    « T’as jamais eu envie de baiser sur sa tombe, sérieux ? Et bien sauvagement, histoire de nous venger. »
Elle s'était tournée vers lui, bien face à face. Les yeux dans les yeux, s'ils avaient pu se voir nettement. Mais il faisait relativement sombre, ce qui empêchait la jeune femme de voir l’expression sur le visage de Feliks. Elle plaisantait, bien sûr, mais peut être affichait-il déjà un sourire pervers qu’elle ne pourrait que très difficilement voir, vu l’obscurité du lieu. Ceci malheureusement, d’ailleurs.
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Feliks Holmberg
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MessageSujet: Re: Envie de pisser. - Feliks   Envie de pisser.  - Feliks EmptyLun 23 Fév - 21:30



    Soumis. Voilà exactement ce qu’il acceptait d’être à l’instant même. Il n’avait jamais été amoureux de Maryjane, et elle, de son côté, ne l’avait jamais été non plus de lui, cependant, Feliks ressentait une constante envie de lui faire plaisir. Le moindres de ses désires, du plus soft au plus farfelu, était comblé par ses soins, et le jeune homme avait cette faculté de ne jamais baisser les bras, jusqu’à ce qu’il ait terminé ce qu’il avait commencé. C’est de cette manière que sa sainteté avait réussit à lui faire accepter de la prendre sur son dos pour faire une promenade. Le pire dans cette histoire, et surtout pendant le trajet, fut sans doute qu’elle semblait n’avoir aucune gratitude envers ce pauvre être qui s’usait le dos et l’ego simplement pour qu’elle soit ravie. Armée d’une pince à épiler, objet indispensable pour une personne de son rang, Maryjane le piquait lorsqu’il ralentissait la cadence, le pinçait lorsqu’il ne prenait pas la route qu’il fallait, et le griffait, lorsqu’elle jugeait qu’il fallait qu’il ralentisse. Tout ça, sans aucun état d’âme. De temps à autre, elle lui offrait une tendresse, l’embrassant doucement derrière les oreilles, mais reprenait bien vite cette activité devenue sa favorite, le torturer. Durant bien des minutes, le jeune homme se demandait s’il n’allait pas fondre en larme, puisque ses cuisses étaient couvertes d’égratignures en tout genre, et les os de son dos le faisaient atrocement souffrir. Maryjane n’était pas lourde, mais elle mettait un point d’honneur à ne fournir aucun effort, et de ce fait, elle laissait tout son poids porté par les frêles épaules de Feliks. Il comprit rapidement où elle désirait qu’ils se rendent, et lorsqu’ils atteignirent enfin la grille du cimetière, le jeune homme ne put s’empêcher d’émettre un soupir. Il fit néanmoins en sorte que celui-ci soit inaudible, horrifié rien qu’à l’idée des représailles qui auraient pu en ressortir si son amie l’avait entendu. La jeune femme descendit enfin de ce pauvre bougre qui lui servait de monture, joyeuse comme elle l’était toujours, chantant et hurlant à qui voulait bien l’entendre qu’elle avait une furieuse envie d’uriner. Feliks ne disait rien, et se contentait de la suivre en arborant une mine déchirante. Sa bouche était tordue comme un smiley pas content, et ses yeux ne quittaient pas les petits cailloux blancs laiteux du chemin. De temps à autre, il grimaçait à l’entente de la voix de crécelle de Maryjane lorsqu’elle s’égosillait gaiement, même si intérieurement, cette situation le laissait plus perplexe que réellement énervé, ou tendu. Il se demandait sincèrement pourquoi cette excursion, même s’il se souvenait très clairement que ce n’était pas la première des étranges lubies que la demoiselle lui faisait subir d’une manière aussi explicite, et surtout, pourquoi au cimetière, alors qu’une de leur proche amie y avait été enterrée récemment. Ils étaient tout deux si incompréhensible, que parfois ils ne parvenaient pas à se comprendre l’un l’autre. Lorsque l’une préférait se mettre au défit en visitant la tombe de sa défunte camarade, l’un, préférait se bidonner devant une vitrine de bonbon. Aucun des deux n’était plus sain que l’autre, ce qui parfois rendait les situations compliquées. Plus Maryjane avançait, plus elle scrutait l’état de ses chaussures, comme si cette ballade dans les gravillons allaient les abîmées de plus en plus de seconde en seconde. Le jeune homme secoua son visage, songeant qu’elle ne changerait jamais, et se demandant si réellement il aimerait qu’elle le fasse. La réponse était indubitablement non. Premièrement parce qu’elle était généralement la seule à le comprendre, deuxièmement, parce qu’elle était la seule à le faire rire, et troisièmement, parce que Maryjane ne serait pas Maryjane, sans ce caractère à la con qu’elle possédait. Un petit sourire tordit ses lèvres, qu’il fit disparaître rapidement tandis qu’elle se s’arrêtait d’avancer sans qu’il ne s’en rende compte. Perdu dans ses pensées, il fonça littéralement dans le dos de la jeune fille sans même la faire vaciller une seule seconde, il fallait croire qu’elle était parfaitement campée dans ses escarpins. Ils prirent un sentier sinueux entre les tombes, certaines crasseuses, d’autres, bien entretenues, et firent halte devant celle que depuis le début, Feliks visualisait dans son crâne. Il savait depuis qu’il avait mit les pieds devant la grille déverrouillée que telle était l’intention de la jeune fille. Brutalement agrippé par les épaules, celles-là même qui encore quelques minutes auparavant étaient fort sollicitées, il émergea de son imagination et prit enfin la réalité en compte. Debout devant la pierre tombale de feu Juliet Borning, le jeune homme regarda pendant quelques minutes son nom gravé en lettre scintillante sur le marbre que ses parents, sans doute, avaient pu lui offrir, puis, ses yeux sombres vaquèrent à différents endroits, notamment vers les quelques bouquets de fleurs et les plaques où étaient inscrite des phrases telles que « à notre chère cousine bien aimée ». Feliks songea, cruellement certes, qu’elle avait au moins la chance de n’avoir pas été enterrée dans une boite en carton, et s’étonna en même temps que cette fille si superficielle et médiocre au lit ait su garder quelques proches avant sa mort, aussi horrible et atroce fut elle. Sans déplacer son regard d’un pouce, le jeune homme écouta Maryjane attentivement, tout en laissant naître un sourire sur son visage épuré.

    « Je n’avais pas encore eu le temps de préméditer cet acte, vois-tu, elle est morte depuis quelques semaines seulement et tu penses déjà à lui faire payer son excès de stupidité... »

    Il fallait dire que Maryjane n’était pas le genre de fille à attendre trop longtemps, avant de faire des coups bas, et le fait que Juliet soit morte avant qu’elle ait eu le temps de commanditer ses plans machiavélique l’avait rendue carrément folle. Il coula un regard vers elle, finalement, et se rendit compte qu’elle s’était entièrement tournée vers lui. Il fit donc de même, ressentant une faible douleur dans le dos, dont il supposait que la puissance augmenterait considérablement le lendemain matin, lorsque les effets de ses méfaits se feraient enfin ressentir. Parce qu’il savait déjà à l’avance, que méfaits il y allait y avoir. Ils n’étaient sans doute pas dans ce coin pour rien, et il s’imaginait déjà les pires folies, surtout aux vues de l’idée que Maryjane venait de fournir. S’il n’avait pas pensé à cela jusque là, il s’avouait à présent que l’action n’était pas des plus repoussantes. Il ne souriait pas vraiment dans l’instant, mais voyait clairement les sourcils de la jeune femme s’arquer tandis qu’elle tentait de décrypter ses émotions. Souriait-il de façon lubrique, secouait-il la tête négativement ? Rien de tout cela, il était simplement serein, tandis qu’il détournait ses yeux de la silhouette de son amie.

    « Cette fille n’était qu’une catin, je te jure. D’ailleurs, elle trompait ton frère sans arrêt, et pas qu’avec moi hein, grand bien nous en fasse, mais elle m’avait même proposé de l’argent pour que je lui laisse me faire ses « trucs spéciaux » comme elle les appelaient. Elle prétextait qu’il fallait qu’elle expérimente... »

    Feliks haussa les épaules, tandis qu’il se retournait une nouvelle fois vers Maryjane. Il ne détestait pas Juliet, de son vivant, elle avait été une fille distrayante, mais il préférait être désagréable en parlant d’elle lorsqu’il était en présence de sa camarade, qui elle, vouait une haine sans égale à ce cadavre pourrissant sous leurs pieds de blasphémateurs.
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Maryjane Hudler

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MessageSujet: Re: Envie de pisser. - Feliks   Envie de pisser.  - Feliks EmptyMar 24 Fév - 15:21

Feliks semblait bien résister aux blessures affligées par Maryjane. Graves, mais pas encore assez pour le faire réaliser à leur auteur, trop égoïste pour s'avérer réaliste. Une fois devant la tombe de Juliet Borning, avait rangé la pince à épiler dans la petite boite en fer prévue à cet effet, puis dans la pochette, et enfin, dans son sac à main, qui s'avérait plutôt être une énorme besace, qui s'ajoutait à son propre poids. A la vue de son sac, cependant, ne s'inquiéta pas un instant de l'état de santé et de fatigue de Feliks, connu pour être un homme, un vrai. Type robuste, virile, nourri à l'amour propre. Désormais face à lui, le sac posé sur son épaule, elle le regarda un instant, le temps d'admettre qu'elle ne le voyait que très mal, et sortit ainsi de son sac une sorte de lampe de poche motorisée, à l'utilisation simple. Seul consigne : tourner la manivelle. Une procédure dans les capacités mentales de Maryjane, aux qualifications assez limitées. Enfin, tourna ladite manivelle et pointa l'appareil vers le visage de Feliks, pouvant ainsi rattacher à ses paroles la belle ondulation de sa bouche. Belle, façon de parler, si on tient compte du fait que le jeune homme tordait ses lèvres de façon très exagérée afin que son amie l'entende. Mais le simple fait de le voir, au milieu de cette obscurité, suffisait à la rassurer. L'envie d'uriner était désormais passée, celle de chanter, pas plus que ça. Elle se serait mise à hurler les paroles de Tire Swing, et aurait continué sa marche, Feliks n'étant apparemment pas disposé à les venger de la manière des plus dégueulasses. Pédale, lui aurait-elle jeté, si elle avait été sans cœur, et si la nuit avait été assez avancée pour qu'elle le laisse en plan ici. Seulement, la soirée commençait à peine. Impossibilité, donc, de rentrer et de l'ignorer encore quelques heures, en sachant que le jeune homme se vexerait surement, et qu'ils habitaient sous le même toit ; la dispute, si agréable pouvait elle être, ne devait de préférence pas avoir lieu.
Et déçue de l'intérêt que Feliks semblait porter à Juliet, Maryjane s'écroula gracieusement sur la tombe, posant ainsi son cul de princesse sur les faux pétales largement éparpillés sur le granit « rose », et bousculant deux ou trois vases joliment remplis de fleurs relativement récentes (ou fausses, elles aussi). Désespérée, elle l'était. Au point de pense que, finalement, son ami ne détestait pas Juliet autant qu'elle, et elle avait surement raison, vu l'attitude de Feliks, qui la défendait. Il souriait bêtement, comme s'il n'y avait eu aucun mal à ce qu'une fille aussi stupide et aussi mignonne que Maryjane ai existé. Comme si cela l'arrangeait bien, en fait ; deux nanas idiotes à son service, que pouvait il demander de mieux, à part deux nanas intelligentes mais cannons ? Dur dilemme, mais le jeune homme avait apparemment fait son choix : pas de baise ce soir, donc pas de délire, ni de vengeance. Enfin tant pis pour lui. La jeune femme fronça les sourcils, cherchant dans sa cervelle vide d'intelligence une idée qui pourrait le faire céder. La perversion – cela va de soit – serait certainement le meilleur moyen d’obtenir ce qu’elle voulait de Feliks, le connaissant. Et celui-ci n’ayant surement pratiqué aucune activité sexuelle depuis la mort de Juliet Borning, il était presque sûr qu’il ne résisterait pas bien longtemps.
Plan A, donc, à mettre en œuvre. Lentement, Maryjane se releva, et comme dans son état initial, se plaça face à Feliks, les yeux droits dans les siens, les sourcils arqués, comme à son habitude. Son air se faisait malicieux, son sourire tout juste séducteur. Elle posa son sac à terre et posa la main qui servait à le retenir sur sa propre hanche, prenant une pause relativement aguicheuse. Elle restait silencieuse, un moment seulement, le regard plongé dans celui de sa victime. Vint ensuite une petite moue de sa part, boudeuse et triste.

« C’est dommage que tu ne veuilles pas. Je n’ai pas mis de culotte, j’espérais que ça te ferais plaisir, mais tu sembles trop aimer Juliet pour en faire le deuil. Je te comprend, c’était une fille exceptionnelle, genre, stupide et plus belle que moi, pleine de vertu, d’ailleurs. » Elle baissa les yeux un instant vers son bas-ventre, mais les leva de nouveau vers Feliks, sans trop s’attarder sur le fait que Juliet était apparemment bonne au lit. Souriait désormais, très sournoisement d’ailleurs. « Enfin pas de problème, je vais aller voir Sixte, et il sera très heureux de me faire sauvagement l’amour dans ton lit. Et on te laissera les capotes dans ton tiroir secret, avec tes playboys et autres stupidités masculines, en souvenir de ce que tu auras manqué. »
Maryjane haussa les sourcils une dernière fois, se saisit de son sac et parti, dans la direction qu’elle aurait prise s’ils ne s’étaient pas arrêtés devant la tombe de Juliet. Elle continua ainsi dans la petite allée, sautillait presque, toute guillerette, à la vue de l’efficacité de son plan et de ses grandes capacités d’actrice. Sûre que Feliks la regarderait partir, s’il n’était pas déjà en train de courir pour la rattraper, elle avait attrapé deux pendants de sa jupe, un de chaque côté, et plutôt vers l’arrière, de façon à soulever légèrement son vêtement. De là où il était, sa proie devait apercevoir deux petits bouts de cuisses, laissant sous entendre que plus haut, rien ne couvrait l’agréable postérieur de la jeune femme, qui se dandinait excessivement, au risque de paraitre ridicule. Quoi que, Maryjane est, de toute façon, naturellement ridicule.
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Feliks Holmberg
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MessageSujet: Re: Envie de pisser. - Feliks   Envie de pisser.  - Feliks EmptyMar 24 Fév - 16:15

    Après s’être fait aveuglé sans véritable raison, mis à part le fait que les quatre volontés de Maryjane se devaient d’être exécutées, le jeune homme se frotta un instant les yeux, soucieux en quelque sorte, de pouvoir enfin recouvrer complètement la vue, et non pas de se balader avec d’énormes tâches lumineuses collées à la rétine. Elle avait les sourcils constamment arqués, comme si elle n’avait de cesse que de chercher des réponses à ses questions. Seulement... se posait-elle réellement des questions ? Peut-être s’apprêtait elle à imaginer une autre bêtise, ayant pensé que Feliks n’était pas partant pour cette partie de jambes en l’air qu’elle avait mentionné plus tôt. Néanmoins le jeune homme n’avait émit aucune opinion sur le sujet, et Maryjane serait sans doute très déçue si elle se rendait compte qu’elle avait tiré des conclusions trop hâtives. Souriant malgré lui, Feliks laissa planer le silence quelques instants, tout en s’imaginant déjà la dispute future qu’ils allaient avoir lorsqu’il lui annoncerait qu’elle avait fait fausse route... Peut-être lui mettrait elle la tête dans le congélateur, comme la dernière fois, croyant rêveusement que ses oreilles allaient se décrocher de sa tête, ou peut-être l’obligerait-elle à se mettre immobile au milieu de la route tandis qu’elle lui roulerait dessus avec son tricycle. Brusquement, le sortant de ses pensées, Maryjane se laissa tomber tout naturellement sur la pierre tombale de leur ancienne amie Juliet, sans aucune politesse, renversant les diverses décorations funèbres que les proches de cette dernière avait laissé en sa mémoire, si bien sûr elle en avait une. Puisque Juliet Borning, de son vivant, n’avait pas fait grand-chose qui méritait d’être gravé dans l’histoire, malheureusement. Et contrairement à ce que Maryjane avait cru comprendre, non, elle n’était même bonne au lit. Sauf si l’on comptait dans ses capacités l’originalité dont elle savait faire preuve, ainsi, c’était une autre histoire... Pensif, Feliks se mit à regarder aux alentours. Beaucoup d’autres tombes étaient disposées, ce qui était logique mais qui pourtant produisait un effet très déstabilisant sur l’équilibre mental du jeune homme qui n’avait en somme jamais demandé à vivre cette petite escapade nocturne. Pour Maryjane, il l’avait fait, parce que depuis tout petit, il ne pensait qu’à lui faire plaisir. Lui donner du plaisir, aussi, sous quelque manière que ce fut. Il s’était mainte et mainte fois imaginé être son esclave, sexuel ou non, et s’était dit que si à quarante ans elle n’était pas encore mariée, à défaut d’être simplement divorcée, il la demanderait en mariage. Dans son rêve, elle ne refusait pas, mais dans la réalité, elle aurait bel et bien été capable de réduire cet avenir idyllique à néant. Feliks se rendit compte que pendant toute la durée de ses intenses réflexions intimes, la jeune femme n’avait absolument pas ouvert la bouche. Soit, elle ne se taisait pas du tout pour qu’il se concentre mieux, non, elle réfléchissait. Et puisque Maryjane ne réfléchissait pas souvent, lorsqu’elle le faisait, c’était une sorte de situation de crise. Finalement, il entendit sa petite voix fluette s’élevée, et non content de l’entendre déjà clairement, il s’accroupit devant elle lentement, afin d’être à sa hauteur. Plus elle avançait dans sa phrase, plus le jeune homme sentait ses jambes se faire moins dures, elles le soutenaient beaucoup moins bien de ce fait, et faisaient que certains de ses muscles s’étaient mis à trembler. Ses lèvres s’étaient pinçées sans qu’il ne s’en rende compte, tandis que ses yeux s’ouvraient de manière impressionnante.

    « Je crois... que tu n’as pas bien saisit le sens profond de mes paroles. »

    Ce qui était plutôt normal, puisque ses paroles n’avaient généralement pas de sens profond, à défaut d’avoir simplement un sens. Finalement, il prit le même visage qu’elle, fronçant les sourcils, d’un air concentré, mais serrant toujours les lèvres, si bien qu’elles en devinrent légèrement pâle, même si personne ne pouvait nettement s’en rendre compte. Après qu’elle eut porté un regard discret vers le haut de ses jambes, que Feliks ne manqua pas, elle lui fit une sorte de menace. Et jouait parfaitement du fait qu’elle savait qu’il avait souvent prit plaisir à faire des allusions les concernant en train de copuler. Prenant une mine outrée, il comprit enfin où elle souhaitait en venir. C’était ça, son plan, lui faire comprendre, par divers moyens dont le catholicisme était à revoir, qu’elle voulait qu’ils couchent ensembles, et ce, dans ce cimetière, si possible. Le pire était sans doute qu’elle ne doutait pas une seconde que ceci fut possible, assurée que Feliks ne lui refuserait jamais une telle volonté. Le jeune homme se poussa légèrement sur le côté lorsque son amie s’empara de son sac et commença de s’enfuir, un peu plus loin que la tombe devant laquelle il était à présent agenouillé, s’engageant dans un petit chemin qui ne disait rien de bon au jeune homme. Ce genre d’endroit avait fort mauvaise réputation, ainsi que le village d’Everley, cependant qu’il ne croyait à aucune des légendes urbaines et autres présences maléfiques à l’endroit où il vivait. Son esprit était malheureusement très fermé concernant ce genre de chose, mais par contre, il était particulièrement ouvert à la liberté, que ce soit de mouvement, de geste, d’expression, de pensée, tout lui allait, tant que cela lui était profitable. Doucement, il se remit droit, son dos l’élançant une nouvelle petite fois, comme s’il ne voulait pas qu’il l’oublie, puis il se lança à la poursuite de son amie sans culotte. Les dernières paroles de Maryjane persistaient encore dans son esprit, elle avait parlé de son « tiroir secret » s’il n’avait pas inventé ça. Il savait que ses amis le connaissaient, mais ne s’était pas imaginé une seconde que c’était à ce point. Légèrement honteux, il accéléra la cadence de sa marche quand il se rendit compte qu’il ne parvenait pas à la rattrapée. Finalement, il tourna vers la droite, et l’aperçu enfin, du moins ce qu’il vit en premier fut ses cheveux, mais bien rapidement, son regard s’était glissé bien plus bas, vers la jupe de Maryjane, qu’elle relevait malicieusement, consciente sans doute qu’il se tenait juste derrière. Il ne lui fallut pas plus qu’une seconde de réflexion, et ses décisions furent prises. Presque à sa place, d’ailleurs, puisque ce n’était plus tellement son cerveau qui décidait, mais bel et bien autre chose, de tout aussi capable d’être un bon commandant. Il se mit à courir légèrement, la rattrapant facilement, tout en envoyant une avalanche de petits cailloux derrière lui. Feliks était imprévisible, mais surtout, irréfléchis, et ne savait pas souvent faire la part des choses. Ce pourquoi il la saisit brusquement à la taille, l’entraînant vers un arbre tout proche en la retournant de manière excessivement rapide pour qu’elle soit face à lui. Au cours de la journée, ils avaient été de nombreuses fois face à face, mais jamais encore ce regard n’avait encore fait surface dans les yeux du jeune homme. Plus rien ne comptait, mis à part cette façon animale avec laquelle il plaquait son amie contre l’écorce dure, ainsi que ses lèvres qu’il posa finalement sur les siennes, les embrassant avidement mais laissant cependant transparaître une infinie douceur. Les battements de son cœur s’accéléraient, mais il savait que c’était ce qu’elle avait voulu, depuis le début.

    « Juliet était mauvaise au lit, Maryjane, la prochaine fois tu m’écouteras, quand je parle. »
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Maryjane Hudler

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MessageSujet: Re: Envie de pisser. - Feliks   Envie de pisser.  - Feliks EmptyMar 24 Fév - 20:41

Maryjane fut rapidement suivie de Feliks, comme elle l'avait prévu. L'oubliant un instant, se dit qu'elle ferait bien de devenir médium, à ce rythme là. Plongée dans cette éventualité de gagner un max de fric sans faire le moindre effort, elle accéléra sa course, donc, toute guillerette de ce plan de carrière qu'elle ne tarderait pas à mettre en œuvre. Ne lui manquait plus que le pouvoir de lire dans les pensées des gens, ce pour quoi elle n'était apparemment pas douée, aux dires de Feliks, qui semblait dire qu'elle ne l'avait pas bien comprise. Et que donc, à l'eau sa carrière dans le divinatoire, n'ayant pas deviné ce qu'il pouvait bien pense de cette chère Juliet. Tirée de sa rêverie par cet espoir déchu, revint à la réalité et se tourna vers le jeune homme, qui semblait peiner à la rattraper. Il s'affolait, le pauvre, se mit même à courir pour pouvoir la prendre par les hanches et la plaquer contre l'arbre le plus proche. Laissa le temps à Maryjane de faire tomber son sac lourdement sur les graviers, dans un crissement de pierres peu agréable ; ne tint cependant pas compte de l'impact des écorces de l'arbre sur le dos de la jeune femme, qui aurait hurlé de douleur si son plan, qui se poursuivait, ne le lui avait empêché. A la place de ça, elle se contenta d'une légère grimace, jusqu'à ce que Feliks ne vienne l'embrasser, d'une manière trop animale et donc agréable pour être refusée. Se laissant porter, Maryjane ne put que passer ses bras autour du cou de celui dont elle devenait la proie, subissant avec joie ce qu'il lui affligerait désormais. Eu un instant envie d'attraper sa pince à épiler restée au fond de son sac, mais jugea la manœuvre trop difficile, et ne s'y aventura donc pas. Quand Feliks recula enfin légèrement son visage, fronça quelque peu les sourcils, étonnée de la révélation qui venait de lui être faite. ohoh. Heureuse nouvelle. Grand sourire difficilement dissimulable. Quoi que merde !

    « Attend, t’es en train de me dire que Juliet était une merde pas possible au lit, que tu n’as pas baisé depuis elle et que donc tu te sers de moi pour assouvir tes besoins sexuels ? Je suis conne, mais de là à jouer la pute, non merci. »
Maryjane prit un air outré, écarquilla franchement les yeux tant sa surprise devait paraitre grande. Son choc, plutôt ; bien qu’elle ne le fut pas plus que ça, et même plutôt flattée à l’idée que Feliks ai envie d’elle, préféra le faire mijoter, se faire désirer plus encore avant d’enfin céder. Cela aurait bien trop facile de simplement lever sa jupe comme elle l’avait fait un peu plus tôt. La pauvre jeune femme, parfaitement sûre de la réaction de son agresseur – et donc faite pour le métier de médium, attrapa sa jupe et la baissa excessivement, ne laissant ainsi pas la possibilité à Feliks de tenter quoi que ce soit, si ce n’est de se faire pardonner, de l’implorer, et comme d’habitude, de lui obéir. Douce jouissance, rien que de le voir baisser les yeux comme il allait certainement le faire, coupable comme il devait l’être. A moins qu’il n’espère jouer l’indifférent, mais son cerveau l’en empêcherait, ou plutôt cette chose qu’on appelle l’instinct sexuel du mâle, qui vous changerait radicalement votre homme en une seconde – notre prototype en est la preuve même, voir post précédent. Enfin, elle pouvait tester ledit prototype encore un peu, avant de se donner à lui. Très cordialement, repoussa Feliks d’une main, l’autre toujours sur sa jupe, ramassa son sac avant de partir en direction de l’allée principale, comme elle l’avait fait un peu plus tôt, mais bien moins joyeusement cette fois. D’un pas décidé, le visage baissé, elle rejoignit le chemin goudronné, avec un peu plus loin, la sortie du cimetière. Mais trop rancunière pour partir et laisser son esclave en plan, seul, sans lampe de poche, elle finit par s’asseoir sur une tombe un peu plus loin. Tout à fait à son aise, elle prit soin d’envahir littéralement la pierre tombale, et sortit de son sac sa trousse à maquillage. Car quitte à être idiot et dénué d’intérêt, autant l’être jusqu’au bout. Sorti aussi la lampe de poche et la pointa vers ses mains, pour enfin sortir le vernis à ongles de sa petite trousse. Du rose, naturellement, bien que particulièrement moche. Commença à s’en appliquer soigneusement sur les ongles, levant fréquemment les yeux vers Feliks, l’air de dire « me laisse pas seule, pauvre con. » Ses pouvoirs de médiums ne suffiraient cependant pas à lui faire savoir s’il viendrait ou non. Après un instant de réflexion, à propos de la légitimité de ses pouvoirs de devin, se remit à la seule chose qu’elle était sûre de faire : appliquer son vernis.
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Feliks Holmberg
I was young, and I was a victim of her killer Smile.
Feliks Holmberg


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Dernière volonté : Me serrer Maryjane.
Date d'inscription : 14/01/2009

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MessageSujet: Re: Envie de pisser. - Feliks   Envie de pisser.  - Feliks EmptyDim 1 Mar - 22:05

    Les bras à l’aspect doux et agréable de la jeune femme s’emparèrent lentement de ses épaules, puis de sa nuque, l’entraînant plus encore dans le baiser qu’il était en train de lui donner, et qu’elle lui rendait avec le même empressement, comme s’ils avaient tout deux l’impression que quelque chose, un événement quelconque, allait les empêcher de finir ce qu’ils avaient commencé. Lorsqu’il se mit à parler, ses sourcils prirent une nouvelle fois cette position arquée qu’il ne supportait plus de voir. Elle semblait soit, ne jamais comprendre ce qu’il voulait dire, soit être complètement indécise quant à la manière de prendre les choses. Et apparemment, ce qui venait de lui être dit, ressemblait en quelque sorte à une révélation. Le jeune homme ne s’attendait pas à une telle réaction, mais même s’il se sentait légèrement décontenancé, il eut le temps de repérer un large sourire sur les lèvres de Maryjane, avant qu’elle ne se mette à jouer la vierge effarouchée. La laissant se reculer quelque peu, de seulement quelques centimètres pour l’instant, il l’écouta attentivement se plaindre, cherchant à chaque secondes dans ses paroles, une preuve qu’elle n’était pas véritablement touchée, qu’elle cherchait seulement à le rendre dingue. Il n’en trouva pas, elle était très douée. Mais manipulateur comme il l’était, il ne se laissait jamais désarçonner aussi facilement.

    « Qui a dit que depuis Juliet je ne m’étais serré personne ? »

    Tandis que la jeune femme prenait un air outré, lui, prenait cet air triomphant dont il avait le secret. Subitement, Maryjane se saisit des pans de sa jupe et l’abaissa tant et si bien que le jeune homme pu nettement distinguer le bas de son ventre lorsqu’il posa ses yeux dessus. Conscient qu’elle cherchait à ce qu’il s’excuse, une nette envie de le faire prit possession de lui, comme d’habitude, mais puisqu’il s’était largement rendu compte que depuis le début de cette promenade elle se jouait de lui et le considérait comme son esclave attitré, des envies de révolte se mêlaient à celles d’obéissance. Cependant, d’un autre côté, s’il ne se repentissait pas de ses pêchés, elle ne le laisserait pas la toucher, et Dieu savait qu’en cet instant il en avait envie. Perdu dans ses réflexions, il fut d’autant plus surprit lorsque d’une main, elle le repoussa à quelques centimètres de plus encore, se détachant complètement de son étreinte, tout en tenant toujours sa jupe, symbolisant qu’elle n’était toujours pas prête à accorder son pardon. Un minuscule sourire étirant le coin de ses lèvres, il la regardant un instant rebrousser chemin, et reprendre la direction de l’allée principale, dans l’idée qu’il la suive. Déconcentré par la mine déçue qu’elle arborait, il décida finalement de prendre sa suite. De toute manière, il ne pouvait tout simplement pas se permettre de la laisser toute seule dans un cimetière à une heure pareille, surtout pas celui d’Everley, d’ailleurs. Mettant les mains dans ses poches, il s’avança, le visage baissé, comme elle l’avait si bien fait avant qu’il ne la perde de vue. Il la retrouva assise sur une tombe, encore une fois inconsciente de la mauvaise action qu’elle se permettait de faire en prenant si bien ses aises. Une petite lueur émanait d’elle, et avant que Feliks ne comprenne qu’il s’agissait d’une lampe de poche, il s’imaginait que grâce à cette beauté qu’elle avait, le Seigneur lui avait offert une auréole signifiant qu’il l’acceptait telle qu’elle était, c'est-à-dire stupide et superficielle. Elle était en train de mettre sur ses ongles de ce vernis qu’elle mettait souvent, et que le jeune homme s’amusait à lui gratter à la première occasion pour qu’elle se mette dans tous ses états. Enfin, elle leva les yeux vers Feliks, qui s’était immobilisé juste devant elle, songeant que ce soir, il avait bien faillit faire une belle bêtise. En effet, même s’il avait bien souvent envie de Maryjane, elle était premièrement sa meilleure amie, et leur relation aurait pu en être considérablement compliquée s’ils avaient couchés ensembles, mais il était aussi au courant de quelque chose de bien plus important. Sixte, la troisième personne qui composait leur petit groupe, était amoureux de Maryjane depuis bien des années maintenant, et le jeune homme pouvait tout faire sauf trahir leur amitié de la sorte. Il en aurait presque pleuré tant cette prise de conscience s’était imposée à lui avec une évidence très nette. Poussant un soupir las, il prit le sac de la jeune fille, et se mit assis à l’ancienne place de celui-ci, tout en le mettant sur ses jambes. Il savait qu’elle n’allait pas forcément apprécier ce geste, mais il fallait bien qu’il se trouve lui aussi une place pour la conversation qui allait suivre. Feliks se demanda brutalement comment est-ce qu’il était physiquement possible qu’ils soient tout deux assis sur la même tombe, et alors qu’il tournait la tête pour lire le nom inscrit, il se rendit compte qu’un père et sa fille étaient enterrés sous leurs postérieurs d’irrespectueux. Livide, il retourna finalement son visage vers la jeune fille, stoppant son poignet d’une main, faisant déborder le vernis sur plusieurs endroits de ses différents doigts. Un petit sourire naquit sur ses lèvres malgré lui, il savait qu’il allait avoir droit à des remontrances, c’est pourquoi il prit la parole plus rapidement qu’elle.

    « Tu ne m’en veux même pas réellement, arrête de faire la tronche. »

    C’était plus une constatation qu’autre chose, en effet, mais puisqu’elle refusait toujours obstinément de lui faire un signe de consentement, il dut prendre la voix la plus douce qu’il pouvait, pour qu’enfin elle lui reparle.

    « Tu inventes des choses, tu fais toujours tout pour qu’on se dispute, qu’est-ce que tu veux de moi à la fin ? »

    Conscient qu’il divaguait légèrement, il se rendit compte néanmoins que cette question qu’il venait de poser lui tenait véritablement à cœur. Que voulait-elle de lui, finalement ? Si ce n’était qu’il reste son preux chevalier jusqu’à la fin des temps...
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